Thứ Bảy, 21 tháng 5, 2011

L'experience des capitaux étrangers en Asie

Bài viết của tôi cách đây 20 năm (năm 1991):

            L'experience des capitaux étrangers en Asie

                  (extrait du rapport "Capitaux étrangers en Asie et la
                   comparaison avec le Vietnam", réalisé en 1991)

           
Dans le contexte actuel, les relations économiques étrangères ont devenu un facteur très important dans la stratégie du développement économique de tous les pays, spécialement elles ont une influence de façon assez décisive sur l'accroissement du taux de croissance économique des pays sous-développés. Dans ces pays, le revenu par tête est très faible et n'assure pas les demandes essentielles, l'accumulation à partir de l'intérieur de l'économie n'existe presque pas, l'exploitation des ressources et l'utilisation des progresses de la science et technique rencontrent beaucoup de difficultés. L'une des causes principales de cette situation difficile est le manquement des capitaux nécessaires. L'expérience de plus de trente ans de plusieurs pays mondiaux a prouvé que grâce à la relation économique extérieure et au capital étranger, les pays moins développés peuvent augmenter leur capacité de la mobilisation des capitaux et renouveler la technologie pour rattraper le niveau de la production moderne. A présent, dans plusieurs pays en développement, notamment ceux dans la région de l'Asie du Sud-Est, le capital étranger et l'aide pour le développement constituent l'une des composantes très importantes dans la stratégie du développement économique. La concurrence de l'attirance des capitaux étrangers a fait l'investissement étranger devenir un problème d'actualité dans la vie économique internationale.



            Cependant, l'attirance des capitaux étrangers dans le contexte actuel a de nouvelles évolutions. D'une part, la dette étrangère des pays en développement a devenu trop grande, ce qui est en cours d'influencer négativement la croissance économique de ces pays, car ils doivent prendre une part considérable de revenu pour régler leur dette. D'autre part, les crises de dette ont fait craindre les donateurs et prêteurs, donc l'emprunt dans le marché des capitaux privés est de plus en plus coûteux et en difficulté. Les capitaux officiels offerts par les gouvernements donateurs et les organisations financières internationales ont tendance à devenir la ressource essentielle dans la décennie quatre-vingt. Pour résoudre cette difficulté, au fur et à mesure du développement économique et de l'accroissement des relations économiques extérieures, les pays asiatiques ont rapidement renforcé d'investir et sont en cours d'investir au sein de ce groupe. Cette stratégie a créé de nouvelles occasions de mieux exploiter les avantages comparatives de chaque pays et fait modifier le rôle des ressources des capitaux étrangers dans la région asiatique. Comme plusieurs économistes s'intéressent sur ce problème, nous avons préparé un rapport complet sur l'expérience des capitaux étrangers en Asie avec les contenus principaux :



            - Revoir les grandes tendances des capitaux étrangers à la région asiatique et leur rôle sur la croissance économique et le relèvement de l'efficacité économique, sociale dans pays d'accueil.

            - Comparer les expériences de l'attirance et de l'utilisation des capitaux étrangers du Vietnam et des pays dans la région.



            Cet exposé est une partie du rapport complet, il consiste en partie de l'évolution et du rôle des capitaux étrangers dans la région asiatique.




            I. Les tendances de l'investissement étranger

             vers les pays en développement asiatiques




            Pour analyser les tendances de l'investissement étranger vers les pays en développement asiatiques, on peut se baser sur plusieurs sources d'information différentes. Dans cet exposé, nous utiliserons les donnés de l'Organisation de la coopération et du développement économique (OCDE) reprises dans le rapport annuel de la Banque Asiatique du Développement.



            Le tableau 1 nous montre durant la période 1977-1987, les capitaux étrangers investis vers les pays en développement de la région asiatique ont atteint le niveau le plus haut en 1981: 22,3 milliards de dollars, ensuite baissé graduellement et jusqu'à 11,8 milliards de dollars en 1985 et 13,2 milliards de dollars en 1986. La cause de ce phénomène est la chute des investissements privés à la suite des crises de dette, notamment la chute spectaculaire de l'investissement étranger direct et le crédit d'exportation. Depuis 1987, l'investissement commence à accroître. Le taux de croissance de l'investissement étranger est de plus en plus élevé, le volume a passé de 23,3 milliards de dollars en 1988 à 30,1 milliards de dollars en 1989. C'est un phénomène très impressionnant, car au cours de ces dernières années, l'accroissement général des capitaux étrangers vers tous les pays en développement est encore lent et en Asie, plusieurs pays ont commencé à rembourser leurs dettes étrangères.



            Les donnés dans ce tableau nous montrent également les changements du rôle des sortes de capitaux étrangers investis dans les pays en développement asiatiques. Dans la période 1977-1981, la proportion des capitaux officiels a tendance à baisser alors que la part des capitaux privés augmente. Le rapport capitaux officiels sur capitaux privés a baissé de 4,31 fois en 1977 à 0,96 fois en 1981. Toutefois, à partir de 1981-1982, à cause de l'explosion de la crise de dette, plusieurs pays ne peuvent plus payer leurs dettes, ce qui provoque la psychologie de la crainte parmi les investisseurs privés, les capitaux d'investissement privés ont brusquement baissé. Le capital privé a chuté de 45,5% de 1982 par rapport à 1981. Dans la période 1982-1988, le capital privé a tendance à baisser. Par conséquent, le capital officiel devient la ressource financière essentielle offert aux pays en développement asiatiques.



            En ce qui concerne la structure des capitaux, le tableau 2 nous prouve qu'au cours des années 1970-1975, presque la totalité des capitaux étrangers offerts à la région du Sud asiatique (Bangladesh, Inde, Birmanie, Népal, Pakistan et Srilanka) est originaire du fonds d'assistance officielle du développement (aide non-rembousée et prêt à conditions préférentielles). A la fin des années 1980, quelques pays dans cette région commencent à mobiliser les capitaux officiels non-préférentiels et les capitaux privés, mais les capitaux du fonds d'assistance officielle du développement occupent encore trois quarts du volume des capitaux investis à la région du Sud asiatique.















 Tableau 2: Structure des capitaux nets entrant aux pays en développement asiatiques (%)




 1970-75
 1976-80
 1981-82
 1983-86
 1987-89
Les pays du Sud asiatique
  




+ Capitaux officiels





 - Aides capitaux
    31,8
    44,5
   44,3
   40,3
   37,1
 - Prêts préférentiels
    67,9
    50,5
   40,9
   42,1
   36,3
 - Prêts non-préférentiels
     0,4
      2,5
     5,3
     7,9
   16,1
+ Capitaux privés





 - Investissement direct
     2,3
      1,2     
     2,1
     1,5
     2,2
 - Autres capitaux
    -2,4
      1,4
     7,5
     8,2
     8,1
Les pays du Sud-Est asiatique





+ Capitaux officiels
    




 - Aides capitaux
    15,5
     13,8
    10,1
   19,0
   26,6
 - Prêts préférentiels
    30,8
     23,2
    15,6
   17,1
   30,3
 - Prêts non-préférentiels
    10,1
     23,1
    19,5
   32,7
   40,1
+ Capitaux privés





 - Investissement direct
    33,0
     16,0
    24,8
    3,4
   14,9
 - Autres capitaux
    10,9
     13,9
    30,0
   27,9
  -11,9
Les nouveaux pays
 industrialisés en Asie





+ Capitaux officiels





 - Aides capitaux
      7,4
      2,2
     1,6
     6,4
    5,9
 - Prêts préférentiels
    16,7
      5,5
     3,0
    -4,2
   -3,8
 - Prêts non-préférentiels
    31,1
    30,3
    21,4
     8,8
  -83,9 
+ Capitaux privés





 - Investissement direct
    19,8
    23,4
    37,6
  113,2
  249,6
 - Autres capitaux
    24,9
    38,3
    36,4
  -24,2
   -67,9
Source: Banque Asiatique du Développement.





            Dans la région du Sud-Est asiatique (Thaïlande, Indonésie, Malaisie, Philippines), au cours de la période 1970-1975, les capitaux du fonds d'assistance officielle du développement occupent 46,3% du volume d'investissement étranger. En suite, ils baissent graduellement et ne restent que de 25,7% en 1981-1982. Cependant, depuis 1983 cette ressource de capitaux s'est accru rapidement et elle a atteint à 56,9% en 1987-1988. Spécialement, les capitaux officiels non-préférentiels ont sans cesse augmenté, de 10,1% en 1970-1975 à 40,1% en 1987-1988. Les capitaux du fonds d'assistance officielle du développement sont très importants pour l'Indonésie et les Philippines alors que la Thaïlande et la Malaisie se concentrent à mobiliser l'investissement étranger direct et les portefeuilles. Dans les nouveaux pays industrialisés (Hongkong, Taiwan, Singapour et Corée du Sud), la proportion des capitaux officiels et préférentiels est très base, en revanche, la part des investissements privés est très élevée. Depuis 1983, plusieurs de ces proportions sont négatives, car ces pays commencent à accélérer à rembourser leurs dettes extérieures.



            Les données dans le tableau 2 nous montrent clairement la corrélation étroite entre le niveau du développement économique et l'utilisation des capitaux étrangers. Pour les pays à revenu faible (les pays du Sud asiatique), l'aide et les capitaux du fonds d'assistance officielle pour le développement jouent le rôle essentiel. Par contre, dans les pays à niveau du développement plus élevé (les pays du Sud-Est asiatiques), les capitaux officiels non-préférentiels et les capitaux privés deviennent beaucoup plus importants. Enfin, dans les nouveaux pays industrialisés (NICs), les capitaux privés jouent le rôle fondamental. Ainsi, plus le niveau du développement économique est élevé, plus la proportion des capitaux du fonds d'assistance officielle pour le développement est faible et plus la part des capitaux privés est élevée.



            L'un des caractère très marquant dans les dernières années est l'accroissement très impressionnant de l'investissement et du commerce au sein des pays asiatiques. Le volume des échanges commerciales (exportations plus importations) entre quinze pays asiatiques principaux augmente de plus de 30% par an dans les années 1987-1990. En 1988, l'exportation des nouveaux pays industrialisés vers les quatre pays du Sud-Est asiatiques augmente de 50% alors que les commerces à l'intérieur des nouveaux pays industrialisés augmente de 46%. En revanche, l'exportation des quatre pays du Sud-Est asiatiques vers les nouveaux pays industrialisés accroît 22%. Le montant des échanges commerciaux intra Asie totale a passé de 313,5 milliards de dollars en 1990 à 661,9 milliards de dollars en 1995, et celui entre l'Asie et l'Amérique du Nord plus l'Europe occidentale a passé de 608,4 à 945,2 milliards de dollars entre 1990-1995 (OMC, repris dans l'Expansion No 543, 20 Février - 5 Mars 1997). L'accroissement rapide du commerce extérieur dans cette région a entraîné et stimulé l'accroissement des investissements à l'intérieur des pays asiatiques pour mieux utiliser les avantages comparatives de chaque pays et profiter l'avantage de mains d'oeuvre moins chères des pays asiatiques en développement par rapport au Japon et aux autres pays industrialisés. Ce processus a également joué le rôle très important pour renouveler la technologie et la technique dans la communauté des pays asiatiques en développement.



            En regardant l'évolution de la situation de l'investissement et celle de la croissance économique dans la région asiatique, on peut trouver le lien étroit entre la croissance économique avec l'accroissement du commerce à l'intérieur de la région et l'attirance des investissements étrangers. Les capitaux étrangers issus de toutes ressources combinant avec l'atmosphère d'affaires tempétueuse, l'environnement de politiques appropriées et favorables, la liberté de circulation des capitaux, l'industrialisation et l'expansion du commerce extérieur sont les facteurs clés d'accélérer le taux de croissance économique. Par contre, la croissance économique rapide et l'expansion du commerce extérieur stimulent le renforcement des investissements étrangers orientés vers la région et renforcent aussi les échanges de capitaux à l'intérieur de la région. Ce sont ces relations qui ont contribué la part clé dans le maintien d'un taux de croissance économique très élevé et stable des pays en développement asiatiques devant le contexte d'instabilité de l'économie mondiale.





            II. Le rôle des capitaux étrangers pour la croissance économique





            Jusqu'à présent, il existe toujours de débats sur le rôle des capitaux étrangers pour la croissance économique des pays en développement. En supposant que la totalité des capitaux étrangers entrant dans les pays en développement sont utilisés pour investir et le coefficient ICOR n'est pas modifié, on trouve que les capitaux étrangers ont l'effet positif sur la croissance économique. Cependant, dans la réalité, il existe des cas qui montrent la conclusion contraire. D'une part, par l'apparition des capitaux étrangers, les gouvernements réduisent souvent leurs efforts de collectionner l'impôt, accroissent la dépense gouvernementale et libéralisent l'importation (pour importer les capitaux étrangers), ce qui provoque la chute du taux d'épargne domestique. D'autre part, les capitaux étrangers peuvent baisser l'efficacité économique du pays à cause de l'importation des techniques, des technologies et des systèmes de gestion économique non-appropriés. Dans ces cas, les capitaux étrangers peuvent créer des conséquences néfastes sur le processus de croissance économique.



            Il existe également des contradictions entre les pays riches et les pays pauvres sur le rôle des capitaux étrangers et le commerce extérieur. Tous les deux groupes de pays reconnaissent actuellement le rôle positif du commerce extérieur sur la croissance économique, mais alors que les pays en développement estiment que les capitaux préférentiels et les aides non-remboursées des pays riches ont le rôle important sur le développement de leur pays, les pays riches ne reconnaissent pas ce point de vue, ils pensent que les pays pauvres doivent se développer par la mesure de l'augmentation de l'épargne et de l'investissement domestique, dont la construction d'un mécanisme de marché développé est la première priorité. Pour cela, les pays en développement doivent libéraliser rapidement le commerce extérieur, flotter le taux de change et réaliser des politiques préférentielles pour les investisseurs étrangers...



            Dans l'étude des relations entre les capitaux étrangers et la croissance économique, on suit souvent deux méthodes d'approche: soit on analyse la corrélation entre les capitaux étrangers, l'épargne et l'investissement domestique et la croissance économique, soit on considère la relation entre les capitaux étrangers, l'efficacité de l'investissement et la croissance économique. Des fois, on régresse directement les taux de croissance économique sur les variations du volume des capitaux étrangers.



            1. Les conclusions selon la première approche:



            Plusieurs modèles ont été construits selon cette approche pour analyser la corrélation entre l'épargne domestique, la croissance économique et les capitaux étrangers dans le cas des pays en développement asiatique. A partir d'un modèle avec les séries 1960-1980, M.Fry a trouvé que dans tous les quatre pays asiatiques Thaïlande, Népal, Corée du Sud et Bangladesh, les capitaux étrangers ont l'effet négatif sur l'épargne domestique, c'est à dire ils ont partiellement remplacé l'épargne domestique. Dans une étude pour les 18 pays en développement asiatiques, la Banque asiatique du développement a trouvé que les capitaux privés ont un effet positif sur l'épargne domestique, mais pour les capitaux officiels, cet effet est négatif.



            En ce qui concerne la relation entre les capitaux étrangers et l'investissement domestique, nous trouvons que les capitaux étrangers ont accru l'investissement. En utilisant les données des 13 pays en développement de l'Asie pour la période 1965-1988, nous avons trouvé qu'un accroissement de 1% des capitaux étrangers provoquera l'accroissement de 0,2% des investissements de ce groupe pays. Si prendre le coefficient ICOR comme l'indicateur d'efficacité des investissements, on trouve une corrélation négative entre le ICOR et les capitaux étrangers, ce qui implique une influence positive des capitaux étrangers sur l'efficacité de l'investissement du pays. Ainsi, les capitaux étrangers ont un impact positif sur le volume et l'efficacité de l'investissement, donc par conséquent, sur la croissance économique.

           

            2. Les conclusions selon la deuxième approche:



            Plusieurs études d'après cette approche ont prouvé que:

            - Les capitaux étrangers ont l'impact positif sur l'efficacité des investissements, mais les capitaux privés ont l'impact meilleur que les capitaux officiels;

            - Les capitaux étrangers et l'épargne domestique ont tout l'influence positive sur la croissance économique, dont les capitaux étrangers ont l'impact meilleur que l'épargne domestique parce qu'ils apportent de nouvelles technologies.



            Toutefois, dans les modèles utilisés, il y a souvent deux points faibles. Premièrement, les fonctions de régression des années 1980s ne comptent pas suffisamment tous les facteurs de croissance économique, notamment le rôle et le développement du commerce extérieur qui sont très importants pour le cas des pays asiatiques. Deuxièmement, ces modèles ne comprennent qu'une équation de régression simple qui ne peut pas refléter précisément des relations de causalité entre les variables dans ces modèles. Pour échapper ces points faibles, nous utilisons un modèle suggéré par les experts de la Banque Asiatique du Développement qui consiste en deux équations de relation croissance et épargne :



                       

                                               (ai > 0, i = 1 à 11)



avec    GR : Le taux de croissance économique

            AID : Les capitaux étrangers officiels, en pourcentage du PIB

            FPI : Les capitaux étrangers privés, en pourcentage du PIB

            EXP : Le taux d'exportation sur le PIB

            L : Le taux de croissance de la force du travail

            S : Le taux d'épargne domestique

            GDPN : Le PIB par tête.



nous y ajoutons la troisième équation: ICOR = S/GR.



            Le modèle plus simple avec seulement trois variables explicatives AID, FPI et EXP, a été estimé selon les séries 1965-1988 pour la plupart des pays en développement asiatiques. Les résultats concernant l'influence des capitaux étrangers et de l'exportation sur la croissance économique et le taux d'épargne domestique sont reportés dans le tableau 3. La relation négative entre les capitaux officiels et le taux d'épargne domestique a indiqué la substitution partielle entre ces deux sortes de capitaux. Pareillement, la relation négative entre les capitaux officiels et l'efficacité de l'investissement est la conséquence de l'utilisation de ces capitaux dans l'infrastructure et dans le secteur productif. Nous voyons ici le rôle largement positif des capitaux étrangers privés et de l'exportation sur la croissance économique, le taux d'épargne domestique et l'efficacité de l'investissement. Spécialement, les coefficients d'influence des capitaux privés sont les plus grands, ce qui prouve que les capitaux privés ont le rôle plus important que les autres facteurs.



 Tableau 3: L'impact des capitaux étrangers et de l'exportation en Asie (modèle réduit)

Influence vers (%)
Lors de l'augmentation de 1% des variables:

capitaux officiels
capitaux privés
exportations
Taux de croissance économique
             0,101
            0,732
           0,074
Taux d'épargne domestique
            -0,085
            0,715
           0,049
Efficacité de l'investissement
            -0,633
            1,169
           0,256


            Tableau 4: L'impact des capitaux étrangers et de l'exportation (modèle complet)

 
 AID
  FPI
  EXP
   L
GDPN
  GR
   S
 Taux de croissance écon.
 0,047
 0,119 
  0,097
  0,137
 0,042
    -
 0,803
 Taux d'épargne domestique
-0,016
 0,032
  0,016
  0,012
 0,110
  0,053
    -




            Le modèle complet avec l'addition des variables "croissance de la force du travail" et "PIB par tête" nous donne une conclusion différente (tableau 4): Le taux d'épargne domestique joue le rôle décisif sur le croissance économique, ensuite, c'est le taux de croissance de l'offre du travail. Le rôle des capitaux étrangers privés est poussé au troisième rang, bien que celui du total des capitaux étrangers soit placé au deuxième rang.



            Ainsi, l'élargissement du modèle a donné quelques jurements différents à ceux disponibles. D'une part, les capitaux étrangers donnent des influences positives sur la croissance économique et l'efficacité d'investissement, mais c'est l'effet des capitaux privés; les capitaux officiels influencent négativement le taux d'épargne et l'efficacité d'investissement. D'autre part, les capitaux étrangers et le taux d'épargne domestique ont influence positive sur la croissance économique, toutefois, le taux d'épargne a l'impact plus important que celui des capitaux étrangers. Similairement, on peut trouver la croissance de la force de travail et le taux d'exportation ont également l'effet positif sur la croissance économique. A partir de ces remarques, on peut conclure que les facteurs domestiques ont le rôle plus important que les capitaux étrangers et ces derniers ne sont pas le facteur décisif pour atteindre un taux de croissance économique élevé et stable.




          Conclusion:



            L'objectif de cet exposé est de montrer l'évolution et le rôle des capitaux étrangers investis dans la région asiatique. Les résultats des modèles ont bien prouvé leur influence positive sur le processus de la croissance économique, le relèvement de l'épargne domestique et l'efficacité de l'investissement pour les pays dans cette région. Notamment, nous voyons l'efficacité très élevée sous tous les aspects économiques de la ressource des capitaux privés, donc il faut renforcer de mobiliser cette ressource. Cependant, les résultats nous montrent également que les capitaux étrangers ne sont pas le facteur décisif sur le développement économique des pays, ce sont des facteurs internes comme l'épargne, l'investissement et l'utilisation de la force du travail domestique qui sont les facteurs les plus importants pour une croissance économique rapide et durable des pays en développement.


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